Et la Déesse se fâcha!

(POSTE SUR LA PLACE PUBLIQUE DE LA COMMUNAUTE DU JEU..... POUR FAIRE UN P'TIT COUCOU DE NOTRE CLAN, VOILA!)

Nul doute que l'heure s'aggravait et chaque minute passée représentait un nuage de plus dans ce ciel qui s'osbcursissait d'avantage au fil des semaines, si pas des jours.

C'était du temps où la fôret était encore peuplée de tous ses arbres forts et impressionants, de tous ses petits animaux indispensables à l'écosystème que notre Grande Déesse dans sa générosité et sa bonté nous avait donné de sa main délicate.

La mort n'était pas encore aux aguêts derrière chaque porte de nos foyers et à chaque palissade de nos murailles.

Les inquiètudes de chacun remplissait les conversations des citoyens au marché du dimanche, et l'incompréhension se ressentait à chaque phrase. Mais bon, ils en avaient vu d'autres, ces braves paysans et représentants de ces terres de Sarwyen.

Mais nul doute ne fut plus possible. Les batailles et déclarations de guerre avaient commencé çà et là, et les morts se faisaient de plus en plus nombreux à tous les coins de toutes nos contrées.

La nature fut la première touchée. Chaque combat engendrait des destructions de bois et fôrets. Les feux, le matériel nécessaire à la constructions des engins de guerre.... la gratuité de la destruction.... le feu...!


Le Grande Déesse se savait en danger, non elle physiquement, mais tous ces enfants de part delà les horizons.

Elle ne savait les défendre, là n'était pas sa tâche.

Mais son seul espoir était bien un élu, celui qu'elle attendait depuis longtemps en réaction aux évènements qu'elle savait inévitables.
Celui-ci se présentait souvent à elle, sans qu'il le sache, mais sa présence en chaque être vivant lui permettait de le suivre à la trace.

Elle le savait encore précaire à recevoir ses paroles, mais elle ne pouvait plus reporter leur rencontre.

Sagement et précautionneusement elle lui annonca sa destinée qui lui était encore cachée, mais bien latente.

Celui-ci en fut choqué, choqué des prévisions de cette Déesse.

Un aura tellement douce et chaleureuse s'en dégageait que toutes visions si sombres du futur lui semblaient appartenir à un comte d'un autre temps.

Leur temps accordé était court et les présentations brèves.

Solomyr n'eut pas l'occasion de demandé plus d'explications qu'en aux attentes d'Ehlonna, mais il se savait chargé d'une grande mission.

Sa jeunesse et sa peur des faits l'amenèrent à se réfugier et méditer dans une fôret, majestueuse, encore, pour combien de temps.

Depuis, le clan créé, les combats faisant rage, les guerres ouvertes, les morts jongeant les sols, les orphelins déambulant de villes en villes, l'eau coulait sous les ponts,, neutre mais désespérée au témoignage de ce massacre.

Les Ehlonniens, fort de leur convictions se battaient inlassablement contre leurs ennemis jurés, ces monstres de Tanadhéel, ses partisants, ses créatures de l'obscur.

Chaque jour nouveau leur permettait d'aggrandir leurs forces et leurs membres.

Nul n'est immortel, mais la force de la Déesse intarrissable.